Repli offensif

Pour être sur de repousser une charge, on peut toujours envoyer notre cavalerie à sa rencontre, mais cela ne garanti en rien la victoire. Au contraire, si vous envoyez votre cavalerie trop rapidement, elle risque de foncer dans la cavalerie ennemie trop près des lignes ennemies,   et donc de s'exposer au flèches de l'ennemi. Je ne conseille donc  pas d'utiliser cette méthode, sauf si on est sur qu'il n'y a pas d'ennemis, aussi présumé innoffensif soit-ils,dans le secteur. Bien sur, vous pouvez toujours rassembler des unités spécialisées dans le domaine de la contre-charge, (comme des lanciers par exemple) mais la technique la plus pratique est celle du REPLI OFFENSIF. Cela consiste à placer des unitées d'attaque distante(par exemple des archers) sur vos flancs, et placer vos unitées spécialisées dans la contre charge en retrait mais toutefois bien en face de l'ennemi. Il ne faut pas les placer trop en retrait non-plus, sinon les adversaires risquent de prendre vos unitées d'attaque distante pour cible. Dans ce cas, je vous conseille de leur ordonner de courir et vite!Mais si vous calculez bien votre coup, les ennemis devraient être pendant presque toute leur charge sous un feu bien nourit et vont rencontrer des lances bien accérées qui les attendent. Bref, ils vont se prendre beaucoup de dégats et ne vous en affligeront presque pas. Si vous allez dans l'album photos "images" et que vous cherchez REPLI OFFENSIF, vous trouverez une image extraite du jeu Praetorians(prononcer "prétoriens")ou vous voyez nettement les lanciers qui attendent les ennemis en bas à droite, presque sous l'arbre, et ou les ennemis (en noir) leur foncent dessus alors que des archers leur tirent dessus(en haut à droite et en bas à gauche, dans le coin).

  Vous pouvez aussi adopter cette technique dans l'élaboration de vos châteaux, en placant l'entrée en retrait(exemple : image repli offensif d'après Stronghold Crusader).

Comments

[Remington]

Ne le prends pas mal, mais je ne sais même pas de quel de jeu de stratégie tu parles. Est-ce que tu peux m’en dire plus ?